Qu’est-ce que le « sanuk » ?
Dans la culture thaïe, le « sanuk » est en quelque sorte ce que cherchent constamment à atteindre les Thaïlandais. Ce terme ne peut pas se traduire de façon vraiment précise, mais il est important pour comprendre l’âme et le caractère thaïs. Littéralement, il signifie « divertissement » et plus largement il englobe la capacité à se divertir.
Mais ce n’est qu’un bien pâle reflet de son sens. On le définit donc généralement comme « le chemin de la joie de vivre ». Il s’agit de la clé des comportements caractérisant l’attitude des Thaïlandais, faite de gentillesse, de disponibilité, de joie de vivre et de prévenance y compris envers les « farang ».
En raison de ces qualités, le Pays du Sourire semble une contrée accessible, plus proche et plus ouverte que d’autres cultures orientales, indienne ou chinoise par exemple, qui conservent une part de mystère.
Le regard des « farang »
En Orient, un Occidental est un étranger, c’est-à-dire un « farang » en langue thaïe. A priori, ce terme dériverait de « farangset », prononciation locale du mot « français ». Il faut dire qu’au XVIIème siècle, la France fut l’une des premières nations européennes à nouer des relations culturelles avec la Thaïlande. Par conséquent, pour les habitants, « homme blanc » et « Français » devinrent alors synonymes.
Les étrangers ont du mal à comprendre ce concept et même, pour eux, l’omniprésence du sanuk peut vite devenir irritante. Certes, ils apprécient le divertissement mais celui-ci doit être limité dans le temps et le plus souvent il passe après des activités dites importantes. Au contraire, pour les Thaïlandais, le sanuk fait partie intégrante de la vie qui doit en être imprégnée à tout moment. Il révèle ainsi leur conception même de la vie qui ne doit être ni terne ni sans signification.
A noter que pour la nouvelle génération thaïe, le sanuk correspond au rejet des règles, de l’autorité et il consiste à inventer son propre style, à être soi-même.
Desole de vous decevoir mais le mot farang est d’origine perse et les premier etait les des portugais debarquant en malaisie puis inatallant des comptoirs au siam et non des francais qui sont arrives quelques temps plus tard pour evangeliser et essayer de conquerir le siam